Test Parrot Zik 3
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Deux ans après l’excellent Parrot Zik 2.0, le célèbre constructeur français revient sur le marché des casques Bluetooth avec une troisième génération de son modèle phare. Au programme, pas de grandes révolutions, mais des petites évolutions qui devraient lui permettre en théorie de rester positionné parmi les meilleurs modèles de l’année 2016.
On retrouve un design très proche de celui de la seconde génération, toujours dessiné par Strark, ainsi que le lot de fonctionnalités habituelles. Connexion sans-fil, réduction active du bruit, contrôles tactiles, application mobile…Tout y passe, et c’est la moindre des choses pour un casque proposé aux alentours des 350€.
Pour autant, les évolutions apportées à cette troisième version justifient-elles un tel tarif, notamment quand il est maintenant possible de trouver le Zik 2.0 à bien 100€ de moins ? Réponse dans la suite de notre article après deux bonnes semaines d’utilisation.
Unboxing
Le Parrot Zik 3 est proposé dans une boite plutôt réussie et élégante, à l’image de son casque. Toute la partie avant est construite dans un plastique transparent, mettant clairement en avant le produit en nous offrant une vue directe sur celui-ci. Aux premiers regards, ce dernier semble d’ailleurs très proche en termes de look que le modèle précédent.
Sur le côté verso du packaging, on retrouve un détail des différentes fonctionnalités proposées par le Zik 3. Ce dernier garde les nombreuses options qui ont fait son succès, avec notamment des commandes tactiles particulièrement intuitives, une réduction de bruit efficace ainsi qu’une application mobile complète.
En déballant le tout, le Zik est accompagné d’un câble USB/Micro-USB pour la recharge (mais aussi l’écoute filaire depuis un ordinateur ou laptop), un câble 3.5mm pour connecter votre smartphone ou votre tablette en filaire, ainsi qu’un petit sac de transport. On regrette d’ailleurs qu’il ne s’agisse que d’une petite pochette en tissu plutôt que d’un réel étui rigide, surtout vu le prix de la bête. De nombreux constructeurs proposent par défaut des pochettes au minimum zippées et rembourrées, comme sur le récent Bose SoundTrue II par exemple. Un manuel d’utilisation multilingue vient compléter le bundle.
Dans l’ensemble, le tout reste cependant bien présenté et respire plutôt la qualité, comme sur les précédentes versions du Parrot Zik.
Design & Ergonomie
Comme expliqué un peu plus haut, le Zik 3 reprend une construction très proche de la seconde version. On retrouve donc toujours ce design relativement atypique, permettant de le reconnaitre d’un simple regard parmi les très nombreux modèles actuels. Il s’agit évidemment d’un casque circum-aural, dont les oreillettes viendront se positionner autour des oreilles afin de les englober intégralement.
Les grandes lignes sont conservées, avec toujours cet arceau en aluminium disposant d’une courbure si particulière, recouvert sur sa partie supérieure par une zone rembourrée. Un revêtement en cuir protège le tout, avec le logo de Parrot incrusté sur le haut de celui-ci. Sur notre version, l’arceau et les écouteurs disposent d’un motif « surpiqure », mais d’autres sont également disponibles, comme un modèle à l’esprit « croco » pour les amateurs du genre.
Outre le style de l’arceau que chacun jugera à son goût ou non, c’est surtout son confort qui nous intéresse ici. Tout d’abord, comme sur les précédentes versions, il s’agit d’un arceau cranté, et on pourra donc venir l’ajuster facilement en fonction de la morphologie de chacun. Pour autant, sur le Zik 2.0 certains utilisateurs se plaignaient d’une marge de manœuvre un peu trop restreinte pour les grosses têtes, et le problème semble ici réglé sur le Parrot Zik 3 avec l’ajout d’un cran supplémentaire.
Le confort est-il cependant amélioré ? Pas vraiment à notre goût, puisque le rembourrage reste relativement léger au niveau de l’arceau, exerçant une pression un peu trop importante sur le haut du crane après quelques heures d’utilisation. Le casque n’est pas douloureux en soit, mais pour le tarif on aurait souhaité un rembourrage un peu plus soigné, à l’image du Sony MDR-1A par exemple.
Autre petit bémol, la courbure de l’arceau est clairement un peu étrange, n’épousant pas forcément la forme du crane comme vous pouvez le voir sur la photo ci-dessus. En pratique, c’est honnêtement pas super joli, mais au moins chacun devrait pouvoir l’ajuster à sa taille. Du côté de la tenue, rien à redire, le Parrot Zik 3 tient parfaitement en place et ne bronche pas même lors de mouvements vifs.
Au bout de l’arceau, on retrouve les deux larges oreillettes du Zik. Elles reprennent une forme identique à celles du Zik 2.0, avec un design légèrement ovale et bien plus fin que sur la première génération du casque Bluetooth de la marque. Elles peuvent pivoter à 90° vers l’extérieur pour faciliter le rangement à plat du casque, mais également selon un axe horizontal afin de s’ajuster à la morphologie de chacun.
Le coque de l’oreillette gauche est amovible et permet de venir positionner la batterie du Zik 3. Dans l’idée, on pourra donc investir dans une batterie supplémentaire afin d’être certain de ne jamais être à cours de jus, plutôt une bonne chose. On retrouve une fois de plus un marquage « Parrot » sur l’extérieur.
Sur l’oreillette droite, on retrouve les différentes commandes tactiles du casque, qui ont fortement participé à la renommée de la gamme. En pratique, on gère le volume sonore en faisant glisser le doigt vers le haut ou le bas de la coque, on passe d’une piste à l’autre vers la droite ou la gauche et on ajuste la lecture/pause d’une simple pression. Les commandes sont particulièrement réactives (parfois un peu trop) et très intuitives à prendre en mains. Si on bataille un peu les trois premières minutes, on comprend vite le principe et un bip sonore vient confirmer les différentes actions.
Notez également que les options de réduction de bruit ou encore concernant l’égaliseur ne peuvent cependant pas être gérées depuis le casque, et qu’il faudra pour ça passer par l’application mobile dédiée. Tous les détails un peu plus bas dans l’article.
La connectique du Parrot Zik 3 se trouve également du côté droit, avec notamment un connecteur 3.5mm pour connecter vos appareils filaires (ou si vous souhaitez économiser votre batterie), un connecteur micro-USB pour la recharge (mais aussi l’écoute filaire depuis un laptop par exemple) ainsi qu’un bouton de mise sous tension accompagné d’une petite LED.
Concernant le confort, aucune différence par rapport au Zik 2.0. La troisième génération utilise toujours des coussinets plutôt épais, disposant d’une mousse à mémoire de forme. Ils sont recouverts d’un similicuir et se montrent plutôt agréable une fois autour des oreilles. A la différence de l’arceau, la pression est bien repartie entre les tempes et le haut de la mâchoire, afin d’obtenir un excellent confort. Attention cependant aux grosses oreilles, qui pourront peut-être se sentir légèrement à l’étroit à l’intérieur des coussinets.
En retirant le casque, il est possible de porter celui-ci autour du cou, mais comme souvent, les oreillettes ne pivotent pas dans le bon sens à notre avis. En effet, à plat, ce sont les coques externes et non pas les coussinets qui viennent reposer sur les clavicules, ce qui n’offre pas un confort vraiment optimal. On gardera donc les oreillettes dans leur position standard, même si ce n’est pas forcément l’idéal, notamment pour le maquillage de Mesdames.
Comme sur la précédente génération, le Parrot Zik 3 embarque à nouveau son capteur de mouvement. Celui-ci se montre d’ailleurs bien plus performant et permet de mettre en pause automatiquement votre musique lorsque vous retirez les oreillettes de vos oreilles, et inversement lors de sa remise en place (avec un effet de fading pour préserver vos tympans). Une idée que l’on retrouve depuis sur d’autres produits, notamment sur les excellents Plantronics BackBeat Pro et BackBeat Sense. Pour cette nouvelle version, le capteur a été amélioré et les petits soucis ont été corrigé. Ainsi, le casque se ne met plus automatiquement en pause lors d’un bâillement ou lorsque l’on mange avec ce dernier sur les oreilles.
Dernier point concernant le look du produit, sa pochette de transport. A la différence de certains concurrents (Bose pour ne citer que lui), le Parrot Zik 3 n’est pas livré avec un étui rigide, mais seulement une petite pochette en tissu. Si cette dernière pourra protéger le casque d’éventuelles rayures dans votre sac, on reste quand même sur notre faim pour un produit dépassant les 300€. En clair, il faudra passer une nouvelle fois à la caisse pour protéger efficacement le Zik, dommage.
Dans l’ensemble, le design du Parrot Zik 3 reste tout de même plus que convaincant. Son look est clairement une belle réussite, et chacun devrait pouvoir trouver casque à ses oreilles grâce aux différents coloris maintenant proposés. Le confort reste très correct, mais pas encore parfait sur les écoutes prolongées, alors que les commandes restent toujours aussi plaisantes et intuitives.
Fonctionnalités et application Parrot Zik
S’il y a bien une partie sur laquelle le Zik 3 se démarque de la concurrence, c’est bien évidemment les fonctionnalités. Bourré de technologies, la troisième génération de casque Bluetooth de chez Parrot se rapproche de la perfection en termes d’options supplémentaires.
Tout d’abord en termes de connectivité, puisque la troisième génération offre la possibilité de connecter bien évidemment le casque en Bluetooth ou filaire (via 3.5mm) mais maintenant aussi directement via USB. Grâce à ce nouvel ajout, il devient alors très simple de brancher le casque sur son laptop ou son ordinateur de bureau afin de profiter de sa musique ou de ses films tout en rechargeant la batterie de ce dernier. Il ne lui manque plus qu’un dongle Bluetooth dans sa boite pour être parfait de ce côté-là, peut-être sur une version 4 ?
Ensuite, c’est évidemment du côté de l’application mobile que le Zik 3 fait la différence avec les autres casques du marché. Comme sur les versions précédentes, il est possible de télécharger gratuitement cette dernière depuis l’Apple Store ou Google Play afin de pouvoir accéder à de nombreux paramétrages du casque. Autant être clair, l’application se montre rapidement indispensable si vous souhaitez profiter pleinement de votre casque, alors pour l’instant on ne saura que vous conseiller de patienter encore un peu si vous disposez d’un Windows Phone, puisque cette dernière n’est pas encore disponible sur la plateforme.
Comme expliqué un peu plus haut, l’application permet de gérer de nombreux paramètres du Zik 3, qui ne propose pas de commandes dédiées directement sur ses oreillettes. Ces options sont disposées sur plusieurs pages et onglets, et le tout se montre vraiment intuitif à l’utilisation.
Sur la page principale, un large cercle permet d’obtenir un détail concernant l’autonomie restante du casque. En dessous, trois boutons permettent d’activer rapidement les fonctionnalités principales du produit, à savoir le contrôle du bruit, l’égaliseur et la scène sonore. On pourra ensuite passer d’une fenêtre à l’autre via un swipe sur l’écran.
La seconde page concerne le contrôle du bruit (comprendre « réduction de bruit »). Ici, on pourra d’un simple glissement de doigt s’isoler du monde extérieur, ou au contraire opter pour le « Street Mode » laissant filtrer une partie du bruit environnant. Cette option, comme son nom l’indique, s’avère particulièrement utile dans la rue puisqu’il devient alors possible de rester attentif aux bruits des voitures, bus ou encore annonces SNCF lorsque l’on est en ville. Au total, 5 niveaux sont listés : Réduction de bruit maximale, réduction de bruit standard, isolation passive, Street Mode et Street Mode maximal.
Toujours depuis cette fenêtre, on pourra également activer le mode « Auto » permettant d’ajuster automatiquement la réduction du bruit en fonction de l’environnement. Ainsi, cette dernière sera augmentée dans le métro par exemple, mais diminuée au calme dans votre séjour. Il est également possible d’afficher une « carte du bruit », même si pour être honnête on reste encore assez sceptique sur l’utilité de cette dernière.
La page suivante concerne l’égaliseur du Zik 3. L’utilisation est largement simplifiée par rapport aux égaliseurs classiques, avec ici la présence d’un cercle sur lesquels on retrouve les « styles » suivants : Pop, Vocal, Cristal, Club, Punchy et Deep. Il suffit ensuite de déplacer un curseur vers le style de son choix afin d’adapter l’écoute à son morceau et à son goût. En clair, les amateurs de grosses basses déplaceront le curseur plutôt vers « Deep », alors qu’on s’orientera naturellement vers « Vocal » pour regarder un film par exemple. L’utilisation est vraiment intuitive et les différences entres les choix clairement perceptibles.
Il est également possible d’accéder à un « Mode Producteur », permettant d’afficher un égaliseur plus classique sur 5 bandes, que l’on pourra ensuite attribuer automatiquement à certains albums ou artistes. Il est même possible de télécharger des « Presets » déjà prédéfinis pour certains artistes, proposés par Parrot ou d’autres utilisateurs.
Sur la troisième page, on pourra configurer l’option « Concert Hall ». Pour faire simple, cela permet de gérer un peu mieux la spécialisation sonore, en sélectionnant la scène sonore (Silent Room, Living Room, Jazz Club ou Concert Hall) mais aussi l’angle de diffusion de 30° à 180°.
Sur la gauche de l’écran, il est également possible de faire apparaître un menu renvoyant automatiquement vers certaines pages de l’application. On y retrouve surtout le mode « Avion » permettant de désactiver la connexion Bluetooth et les commandes tactiles afin d’améliorer l’autonomie pendant de longs trajets (Parrot annonce 18 heures de musique dans ce mode).
Depuis l’onglet « Réglages », on pourra mettre à jour le logiciel du Parrot Zik 3 mais également configurer plusieurs options du casque. Il est par exemple possible de choisir son nom, d’activer ou non le capteur de mouvement, de choisir une durée avant la mise en veille automatique ou encore de modifier la langue des annonces vocales.
Vous l’aurez compris, difficile de faire plus complet que l’application mobile proposée par Parrot. Véritable couteau-cuisse, elle fait partie intégrante du Parrot Zik 3 et se montre essentielle pour utiliser parfaitement le produit. Si les options sont nombreuses et très simples d’utilisation, certains pourront cependant regretter l’impossibilité de gérer l’ANC directement depuis le casque.
Performances sonores
Dans la grande majorité des cas, les casques disposant d’une réduction active du bruit proposent des qualités sonores différentes selon leur utilisation. En clair, en écoute passive (en filaire, sans réduction de bruit) ou active (avec réduction de bruit), le rendu sonore est souvent différent et le Parrot Zik 3 n’échappe malheureusement pas à la règle.
En utilisation passive, force est de constater que le son proposé par le Zik manque clairement d’énergie. Les différentes fréquences semblent rapidement se chevaucher et offrent finalement un son plutôt terne et plate. Heureusement, dans 95% des cas, on utilisera le casque de manière active, et là, il faut avouer que le Zik nous montre une toute autre image de lui-même.
Une fois le casque allumé, l’électronique du nouveau Zik 3 se met également en route et la qualité sonore se voit alors grandement améliorée. Exit le son plat et morose de l’écoute passive, ici, la scène sonore gagne clairement en dynamisme, avec une profondeur bien plus saisissante et des fréquences mieux gérées, plus homogènes.
Par défaut, les basses sont bien présentes mais ne prennent pas le dessus sur les autres fréquences, à l’image de certains concurrents. Les médiums se montrent parfaitement clairs et bien définis, faisant la part belle aux parties vocales par rapport aux instruments. Tout ça peut évidemment être affiné via l’égaliseur que l’on présentait un peu plus haut.
Dans l’ensemble, le Zik 3 améliore légèrement les performances sonores du Zik 2.0, qui étaient déjà plus que satisfaisantes pour un casque Bluetooth. Evidemment, tout n’est peut-être pas encore parfait mais le rendu global est clairement bon, précis et dynamique.
Concernant la réduction du bruit, cette dernière est clairement significative dans son mode « Reduction Max » et permet de supprimer une large partie des bruits environnants. Si vous n’avez jamais eu l’occasion de tester cette fonctionnalité, vous risquez d’être surpris lors des premières utilisations !
Durant un trajet de plusieurs heures en TGV, la fonctionnalité s’est montrée particulièrement efficace et permet clairement de s’isoler du bruit des wagons et autres enfants présents dans la rame, un vrai bonheur. Certes, la réduction n’est pas encore aussi efficace que sur le Bose QC25, véritable maître en la matière, mais les ingénieurs de Parrot ont clairement réalisé du bon travail de ce côté-là, d’autant plus que les larges coussinets offrent également une bonne isolation passive.
Autre bon point par rapport à la précédente version, le souffle souvent présent sur les casques ANC, est ici presque inaudible et il est donc possible de se mettre au calme sans forcément écouter de musique.
En utilisant le « Street Mode », on continue de profiter de sa musique tout en restant attentif au monde extérieur. Ce mode se montre particulièrement pratique lorsque l’on utilise le Parrot Zik 3 pour passer des appels téléphoniques, puisqu’il devient alors possible de mieux jauger le volume sonore de sa propre voix. En parlant d’appels, il faut d’ailleurs souligner la bonne tenue des micros disposés sur le casque, permettant une excellente qualité audio même dans les environnements relativement bruyants, avec une voix qui reste claire et audible.
Autonomie
Parrot annonce une autonomie de 8 heures avec Bluetooth et ANC (Réduction de Bruit) activés. En pratique, ce chiffre semble respecté et se montre relativement correct par rapport à la concurrence. Pour autant, cela pourra rester encore un peu faible pour les utilisateurs réguliers, gardant le casque sur les oreilles par exemple une heure matin et soir dans les transports en commun.
En mode avion, il est possible d’atteindre 18 heures d’autonomie comme expliqué un peu plus haut. Notez également que pour cette nouvelle génération, le Parrot Zik 3 peut être rechargé via une station de recharge sans-fil Qi. Nous n’avons malheureusement pas eu l’occasion de tester la fonctionnalité, mais on espère que des utilisateurs pourront nous faire un retour sur cette dernière.
Présentation vidéo
Conclusion
Avec ses très nombreuses fonctionnalités, le nouveau Parrot Zik 3 restera encore pour cette année 2016 l’un des tous meilleurs casques Bluetooth du marché. A l’heure actuelle, très peu de produits proposent en effet une connexion sans-fil, la réduction active du bruit, des commandes tactiles ou encore une application dédiée complète. Pour autant, tout n’est pas encore parfait et le Zik dernière génération souffre encore de quelques problèmes de confort sur la durée. L’autonomie reste également limitée et le bundle manque clairement d’un étui rigide.
Le casque reste néanmoins un excellent produit, en proposant une utilisation toujours plus intuitive et des performances sonores plus que correctes. Reste maintenant la question du prix, car aux alentours de 350€ le Zik 3 est loin d’être donné, notamment face au Plantronics BackBeat Pro ou tout simplement à la version 2.0, qui devient de plus en plus abordable.
Merci pour cette revue de casque fort complète qui me donne vraiment envie de l’acheter. J’ai cependant une question concernant le confort, question à laquelle répondent encore trop peu de tests du même genre: nous sommes de plus en plus nombreux à porter des lunettes or o nous parle peu du confort du casque (surtout sur une période supérieur à une heure en continu) avec cet accessoire qui nous est indispensable. Qu’en est-il du Zik 3 ?
Les zik ont pour ma part tous été confortables avec des lunettes.
Merci infiniment pour ce test, les test de votre site sont toujours très complets et agréables à lire.
Je me demandais néanmoins: Que vaut la qualité de son en USB ? Est-elle meilleure qu’en Bluetooth ? Et est elle meilleur qu’en filaire (casque alumé) ?
Au niveau filaire ça donne quoi? Car le Zic 2 est tout simplement honteux en filaire!
le zik 3 n’apporte pas d’améliorations sur ce point. je vais bientôt me séparer du mien…
Le gros problème des casques parrot c’est leur durée de vie : au bout de quelques mois, les connexions laissent à désirer : la musique se coupe, il faut éteindre le casque voire enlever et remettre la batterie pour que ça fonctionne. Alors oui l’appli est top mais ce casque plante beaucoup trop par rapport à son prix. En plus, j’ai renoncé à mâcher du chewing gum en écoutant de la musique car cela perturbe les capteurs : le zik s’arrête quand on l’enlève de la tête, et si je bouge les mâchoires il se coupe !! J’ai eu le zik 2 et le zik 3, et franchement, les problèmes sont les mêmes. je vais me pencher sur les casques concurrents.
Très bon son mais…
Au bout d’un et trois mois, l’oreillette gauche ne fonctionne plus, mauvais contact.
Cela fait penser clairement à de l’obsolescence programmée.
Le revêtement est de mauvaise qualité et s’est dégradé en moins d’un an.
Les coussinets sont aussi de mauvaise qualité.
La forme de l’arceau est inadaptée et appuie trop sur le tête, l’appui sur l’oreille est éprouvant.